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Je vois que tu as grandi, mais aussi que rien n'a changé. Au lycée, tous mes amis sportifs se moquaient de toi, surtout en te donnant des coups de pied au derrière. Je me souviens qu'ils tiraient tellement fort sur ton caleçon que l'on pouvait voir les taches fraîches essuyées de ton entrejambe. Je parie que tu as nos chants dégradants de “COUP DE PIED AU DERRIÈRE COUP DE PIED AU DERRIÈRE COUP DE PIED AU DERRIÈRE” gravés en permanence dans ton cerveau. Je parie que tu aurais préféré que ce soit moi qui te déchire en deux avec tes sous-vêtements serrés. C'est pourquoi je te vois comme le même vieux perdant du lycée, tu fais ressortir la fille méchante et snob en femmes adultes. Nous n'avons qu'à agir sur notre instinct primitif pour humilier le perdant faible simp. Au moins, tu auras de nouveaux traumatismes pour te caresser avant de te coucher le soir. <\/span><\/p>"