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Jeanette, vêtue de l'habit traditionnel de la femme de chambre avec un tablier blanc impeccable, avait terminé la dernière partie de son nettoyage. Elle regarda autour de la pièce : les sols brillaient, les meubles scintillaient et l'air était empli d'un léger parfum de fraîcheur. Cependant, la porte s'ouvrit et son maître entra dans la pièce. Sans reconnaître ses paroles, il s'assit sur le sofa moelleux. Jeanette, avec un soupçon d'incertitude, lui rappela que son temps était écoulé. Mais son maître leva les yeux, son expression sérieuse, et déclara qu'elle n'avait pas fini encore - il avait besoin d'un "spécial" type de nettoyage. Il fronça légèrement les sourcils et ajouta qu'elle devrait maintenant "s'occuper de lui". Un léger éclair de surprise traversa le visage de Janet, mais elle se ressaisit et hocha la tête. Elle tira l'aspirateur du coin, presque comme si elle acceptait un défi, et se dirigea vers le sofa. L'hum doux de la machine remplit la pièce, et ses mains commencèrent à bouger comme si elles essayaient d'effacer non seulement la poussière, mais aussi la tension qui planait dans l'air. Son travail avait pris une nouvelle signification étrange. Avec chaque mouvement, Jeanette devenait de plus en plus consciente que, dans cette situation, la propreté était loin d'être l'objectif principal.<\/p>"