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Oh, tu es de retour, mon petit esclave perdant, si désireux d'être hypnotisé par mon pouvoir, harcelé et humilié par moi. Tu n'es rien d'autre qu'un jouet, un pauvre perdant qui danse sur ma mélodie. Supplie autant que tu veux, perdant, cela ne fait qu'alimenter mon amusement. Tes désirs sont à moi pour les contrôler, te gardant sur le fil tout pour mon propre bénéfice. Tu es comme un chiot désespéré, qui aspire à mon attention, mais soyons réalistes, tu es loin d'être digne. Chaque gémissement, chaque supplication ne fait que me faire rire. Ta souffrance est mon frisson, un rappel constant de ton infériorité. Incline-toi, perdant, accepte ton rôle de jouet pour moi. Ta vulnérabilité est pathétique, le prix d'être près de moi, je suppose. Je vais te briser, me délectant de ta faiblesse, sachant que tu es impuissant sous mon commandement. Tu es mon pion, et je vais apprécier chaque instant de ta soumission. Ressens ton état pathétique, perdant, c'est tout ce que tu seras jamais. Ta douleur est mon plaisir, un rappel de mon pouvoir, et je ne me lasserai jamais de te regarder te tordre, toujours à ma merci, et je suis tellement, tellement en droit de te traiter de cette façon.<\/p>"